comme dab, on va pas changer le monde, il y a tellement à faire, entre le psy qui...

comme dab, on va pas changer le monde, il y a tellement à faire, entre le psy qui me prend pas au sérieux, mais j'en ai rien à foutre, entre les copines à qui j'envoie un petit message en leur demandant comment elle vont, et aucune réponse, je n'attendais pas plus de tout ces gens, punaises, comment un monde ne deviend pas égri, méprisant, et égoiste, la gentillessse est une tare, surtout pour moi, il y a longtemps que je l'ai compris, mais malheureusement c'est ma nature, et tout cela et mal perçu par autrui, il se sentent agressé, mais non je suis comme ça, certain en on profitait et bien compris, l'exemple typique, lorsque j'ai prétais de l'argent à frere et soeur, comme je savais qu'ils n'allaient pas me le rende, je ne donnais pas la somme demandée, juste de quoi, de quoi les aidés, mais malheureusement pour ce que cela ma servi, et d'avoir toujours raison cela m'énerve, ils m'ont rien rendus, et le pire c'est qu'ils se sont éloignés, toujours peur, que je leur réclame, moi je vous dis un jour que l'on vous demande de l'argent ne le prétais surtout pas, surtout à des gens qui ne pourront jamais le rendre et encore moins à un membre de votre famille, parlons en de cette famille, entre l'ex ou il a saboté ma voiture, parfois dans ses rages il s'arretait à temps lorsqu'il mettait ses mains autour de mon coup, mais tout sa j'en avais pas peur, ni peur de mourir, et la famille, mon propre frère a reproduit se meme geste, si sa femme et son beau fils ne l'avais pas arreter, remarque j'aurais aimés qu'il a jusqu'au bout au moins j'en serais pas là, je le revois tremblant ses mains sur ma gorge, serrée celle ci, fou furieux, rouge, moi continue qu'est ce que tu auras de plus, je serais peut être morte, mais toi tu auras le temps de réfléchir en prison, j'ai cru qu'il allait avoir une crise, tellement il était rouge et qu'il tremblait en serrant, et la fois ou son beau fils qui me téléphone, il pleure, sa voiture est toujours en panne, et il a pas d'argent pour faire les réparations ou en achetait une, tu reves, j'ai déjà donné, pour la meme excuse, et j'en ai jamais revue la couleur, on était dans un moment critique, ou ma mère venait de mourir, donc, le but de l'appel était d'aller au plus vite pour vendre la maison familiale, peu importe quel prix du moment qu'on a du pognon, tout sa la vilité, des gens, et surtout quand il sagit d'un membre de sa famille, et les fois ou je les invitais à venir manger à la maison, j'ai trop honte de dire, leur agissement, discrétement, tout se qui pouvait etre volé discretement on le faisait, honte à cette famille, et honte à moi, qui me laisser faire, et le jour ou j'ai reçu un recommandé de mon frere, qui demander un loyer, soit disant j'habitais chez ma mere et reclamer plus de 600 euros par mois, alors qu'il était venu mangé à la maison, il savait tres bien, que j'habitais pas la maison familiale, et en plus il ne pouvait pas demander un loyer et là je comprens pas non plus l'avocat, qui a fait cette lettre, l'argent qu'est ce que ça fait pas faire, en autre, j'ai découvert après le décés de ma mère, qui est morte d'un cancer foudroyant, lors de visite à l'hopital, les médecins nous ont annoncer la couleur, il faut s'attendre à sa mort d'ici, on ne sait pas un, deux trois, ou plusieurs mois, mais son pronostic vitale était engagé, nous décidame de le rentrer à la maison, sa chere maison, si elle avait vu ce que ces enfants en ont fait, j'ai voulu sauvait le patrimoine familiale, mais seule contre tous, je pouvais combattre, quand il a fallu faire les papiers après le décés, passé à la banque et s'appercevoir qu'au mois de février quand nous avions apris la fin imminente de notre mere, ma plus jeune soeur, qui avait la carte, chéquier de ma mère, commença à vider le compte discrétement sachant qu'elle n'aurait pas de compte à rendre à ma mère puisqu'elle allait mourir, rien que d'en parlait j'ai envie de gerber qu'elle horreur de vois que cela existe, sans compter qu'elle gérait aussi les finances de ma plus vieille soeur, qui était déprissive et qui a fini par mettre fin à ses jours, je suppose, qu'elle a du aussi vider les comptes, mais qu'elle horreur, de plus quand on sait qu'elle venait de sortir d'une hospitalisation en hopital psychiatrique, dès sa sortie j'ai vu qu'elle n'allais pas bien, je me pose encore la question pourquoi moi, simple citoyenne j'avais prévu son geste dès le lendemain de sa sortie, et personne du milieu médicale n'ont rien vu, je me souviens, je passais de temps en temps chez ma mère, il y avait donc ma jeune soeur avec sa fille ainsi que ma plus vieille soeur qui habité là, combien de fois j'ai dis à ma mère de mettre ma soeur sous tutelle, mais c'était moi la folle, ça était moi aussi la folle plusieurs années auparavant, ou j'habitais encore chez mes parents et que j'ai vu que ma soeur n'allait pas bien j'en ai parlé à mes parents, on m'a ris au nez en disant que j'étais qu'une folle, jusqu'au jour, je me souviens j'étais dans la salle de bain et ma soeur ne se levait pas, ma mere alla la réveiller, je montais quatre à quatre les escaliers par les cris effroyables de ma mère, ma soeur étendu dans son lit, avec du vomis qui sortait de sa bouche, je me souviens je ne sais pas ce qu'elle avait pu avaler un magma noir, je la mis en position de survi pour éviter qu'elle réingurge, et dégager ses voies respiratoire, et tout ceci avec les pleurs et les cris incessant de ma mère dans la chambre, je sais comment j'ai fait pour réagir aussi vite, appeler vite, les pompiers, remonter éviter, qu'elle s'endorme et tombe dans le commas, et toujours ma mere qui pleure et cris, sa y est les pompiers sont arrivais ils la prennent en charge et la transporte à l'hopital, après leur départ, vite j'appele le boulot, j'ai un empechement je ne pourrais venir travailler aujourd'hui, vite, on finit de se laver et s'habiller, vite on sort la voiture, vite on court à l'hopital, vite mais non il faut attendre elle toujours prise en soins, sa y est un médecin arrive, elle est hors de danger, c'est une tentative de suicide, pas besoin de me le dire, je le savais, entre les signes avant coureur, et sa prise en charge, je m'en étais rendu compte, et voilà ma soeur parti dans un engrenage, de médocs, d'hospitalisation de suivi psy pendant des années, le jour de sa sortie, la dernière sortie, ce jour là j'avertis ma plus jeune soeur, et ma mere, qu'elle va mettre fin à ses jours, mais non me répond on, elle fait son cinéma, un jour en pleine journée, elle sortie, pour aller se promener comme elle pouvait le faire de temps en temps, aupréalable, elle avait repris frénétiquement ses sorties, choses qui n'était pas normale, ce fameu jour je leur ai dis, qu'elle allait faire une connerie, mais comme d'habitude, je dis des conneries, mais ce jour là elle n'est pas revenu, et n'est revenu un autre jour, ce jour là, on me dit elle fait son cinéma alors qu'elle n'était pas rentrer de la nuit, elle va revenir, personne ne bouge, et moi de mon coté, je pouvais pas tout gérer, mon ex, mon fils, la belle famille, le travail, les nuits blanches, enfin tout, un jour, deux jours, trois jours passente, sa y est elles sont entrain de réagir et previennent la gendarmerie, au premier jour de sa disparition je me levais de bonne heure, inspecté les environs avant d'aller au travail , le matin le soir, cherchant après ma soeur, des jours durants, je cherchais et dans mon for intérieur, savait, savait qu'elle était morte, le jour ou les gendarmes sont venues chez ma mère, ils ont demander des affaires personnelles contenant son adn, je me souviens, ce gendarme et c'est au bout de trois jour que vous réagissait et signaler sa disparition surtout que vous saviez ces entecédants, intérieurement j'aprouvais ce gendarme et comment se sentir coupable, mais seule, qu'est ce que je pouvais faire, finalement au bout de plusieurs jour, on retrouva le corps de ma soeur dans le canal, on n'a pas pu la voir car son corps était tres abimés et ce qui me frappa c'est lorsqu'on avait été convoqué à la gendarmerie et qu'on nous remis ses affaires personnels en l'occurence deux paquets de cigarettes sous son cello, et que le paquet était intact allors qu'il avait séjourné plusieurs jours dans l'eau, cela m'avais frappé, et lorsque je déménagea pour me séparer de mon ex, j'avais sympatisé avec ma voisine, une dame de 82 ans, qui guettait mon retour le soir apres le travail, ou je m'arretais quelque minutes avant de rentrais à lui tenir la conversation, oui je fais encore parti des gens qui savent encore prendre de son temps pour les autres, par la suite nous entretenions une certaine relation, la encore pour ce que cela m'a apporter, la nouvelle qui arrive à sympatisé dès qu'elle arrive, mon autre voisine la très mal pris, car elle meme proche de cette dame, et qui voyait que nous avions noué des liens, cette voisine et relation de plusieurs années avait sympatisé avec toute la famille de cette dame, et quel choc meme pas quand je connais comment son les gens, cette fameuse voisine me dit je vais te dire quelque chose mais il faut pas en parler, et voila plus ou moins ce qu'elle m'a dit tu sais s... la fille de l..... ma voisine, elle parle, elle parle de toit, dernièrement, il y a de l'argent qui a disparu, et cela fait plusieurs fois, qu'elle s'est apperçu qu'il manquait de l'argent à sa mère (l....la voisine), et comme tu lui fais des courses, ses enfants, disent que tu voles de l'argent, j'étais furasse, soit c'était des affubulations de jalousies, de cette vosine, pour que je coupes les ponts avec l..... ou alors elle avait insinuait aux enfants que je volais de l'argent, ou alors effectivement il manquait de l'argent, mais à cette époque il y avait une femme de ménage qui venait ?? ou alors les enfants avaient peur, qu'ils soient désirités, et meme si cela arrivait j'aurais refusé, je sais, je suis pas normal, en plus, elle reprenais gout à la vie, je l'invitais à manger chez mois, et comme je savais qu'elle ne voulait pas quitter sa maison, je faisais en manger, et moi et mon fils lui apportions et parfois nous mangions avec elle, ou quand je faisais en manger je faisais plus pour pourvoir lui amener une part, je lui faisais des courses une fois j'ai réussisse qu'elle m'accompagne, sa, sa fut un choc pour son entourage, alors que sa faisait des années, qu'elle était enfermé chez elle, j'ai eu l'occasion aussi de faire connaissances avec l'un de ses fils, et coincidences comme il en existe beaucoup chez moi, c'était justement le gendarme, qui avait fait la réflexion pour le retard de la disparition de ma soeur, on s'est regarder, mais au premier contact, je ne l'avais pas reconnu, mais son visage était familier, c'est par la suite quand j'ai sus qu'il était gendarme, et là sa a fait tilte, j'en ai jamais parler, je ne lui ai jamais dis qu'on s'était déjà rencontrais, et comme par son travail, il est amener à rencontrer beaucoup de personnes, je sais pas si lui il m'a reconnu, mais enfin, déjà, je pense si les enfants surtout lui, me soupçonnait de voler de l'argent à leur mère, lui aurait déjà réagit tout sa pour de la jalousie, mais c'est quand meme grave, car cette personne à qui voulait l'entendre, raconter cette histoire, mais si on devait prendre acte, pour toute les délations, on passerait son temps à demander réparation, j'ai laisser tomber,